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cherche petit ami désespéremment
04/09/2006 18:06
Recherche petit ami désespérément
Partout, ils sont partout ! Il n'y a pas un trottoir où tu ne rencontres deux amoureux en train d'apprendre les rudiments du bouche-à-bouche. Et toi, comme Corneille, il n'y a rien à faire, t'es seule au monde ! Il va falloir remédier à ça... C'est décidé : demain, tu sautes sur tout ce qui bouge !
Première observation : c'est pas gagné ! En effet, à chaque beau mec que tu croises, il y a un cerbère en jupe collé à ses pattes. Mieux vaut ne pas traîner dans les parages : elle te fustige du regard et pourrait mordre. Lui par contre semble avoir été dressé pour ne pas te reluquer. Pas un battement de cils de sa part. Vexée, tu bats en retraite.
Tu scrutes l'horizon à la recherche d'un brun ténébreux. Quoique ce grand blond qui enfourche sa moto n'est pas mal non plus. Ah tu te vois déjà les bras autour de sa taille, roulant à toute allure, les cheveux dans le vent. Encore raté : le rustre démarre en trombe, te laissant pour unique compagnie, les vapeurs de son pot d'échappement.
Mais qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? Tu cherches dans le miroir, mais si ce n'est un ou deux boutons que tu prends soin de masquer régulièrement derrière quelques couches de fonds de teint... Tu es parfaite ! Non vraiment, ça doit venir d'eux. Les mecs n'ont jamais rien compris après tout.
Chasseuse de têtes
Oublie ton physique : la vrai coupable, c'est ton attitude ! Tu considères les garçons comme de simples morceaux de viande. Eux qui se veulent généralement chasseurs se retrouvent gibier et même si certains ne demandent pas mieux, la plupart prennent les jambes à leur cou face à ce comportement de prédateur. Sois plus subtile dans ton jeu de séduction. Fais toi plus discrète, tourne autour de ta «proie» sans en donner l'air et n'hésite pas à montrer du dédain si elle t'approche. Patience... Tu as lancé ta ligne... Au bout de quelque temps, ils tomberont tous dans tes filets !
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je ne sais pas le quelle choisir
04/09/2006 18:04
Infidélité : « Je ne sais pas lequel choisir »
Entre Pierrick et Eric, ton coeur balance. L'un, bâti comme un dieu, te fait fondre avec son côté latin lover romantique ; l'autre, rebelle charmant et bien foutu, te fait frémir. Qui des deux l'emportera ? Tu as beau multiplier les compétitions, tu n'arrives pas à les départager. Et si au final, tu passais à la caisse avec les deux ?
L'été, les voisins de serviette, le soleil, la mer et les pectoraux luisants... Allongée sur le sable à faire bronzette en matant incognito derrière tes lunettes noires, tu as vu Pierrick, plagiste de juillet à début septembre et réplique de David Charvet. Là, ça a été zoom et arrêt sur image. Ton cœur battait la chamade sur l'air de « chabada bada ». C'était un homme et une femme ; c'était lui, c'était toi. Contre toute attente, l'amour de vacances destiné à mourir avec la rentrée a duré. Mais depuis trois mois, ton duo a tourné à « Jules et Jim », et entre Pierrick et Eric, tu ne sais pas qui choisir.
Ton bonheur était sans nuage. Et puis Eric est arrivé dans ta vie et a fait tourner les vents. Avec son air égaré et son sourire moqueur, il a déclenché l'ouragan dans ta tête. A la pensée de Pierrick, les signaux de mises en garde se sont activés. Tu prenais ton air le plus glacial et ne voulais pas tenter le diable. Mais comment aurais-tu pu garder l'esprit clair avec le démon angélique en voisin ?
Si tu ne portais déjà pas Mme Qui-aurait-besoin-d'un-bon-déo dans ton cœur, tu as désormais encore plus de raison de haïr ta prof principale. Après tout, qui d'autre est coupable de ta trahison ? Bien sûr, pendant ses cours soporifiques, tu ne pouvais qu'écouter les répliques cinglantes de ton partenaire de table. Et de piques en caricatures, tu lui as trouvé du talent et énormément de charme. L'agenda et les rendez-vous ont remplacé les critiques sur l'historienne et tu t'es mise à kiffer Eric, sans respirer Axe et sans boire d'élixir. Au ciné, assis dans un fauteuil pour deux devant la dernière comédie romantique, tu as craqué. Rien qu'un petit baiser, sans doute sans conséquence. Mais depuis, ton cœur fait du ping-pong et le va-et-vient des hésitations.
Tu aimes toujours Pierrick et ne veux pas le quitter, mais tu aimes Eric et ne peux pas t'en empêcher ? Qui choisir ? Que faire ? Déjà, pour ne pas regretter des aveux précipités, évite de culpabiliser. Dis-toi qu'Eric va soit renforcer tes sentiments pour Pierrick, soit t'éviter de perdre du temps avec la mauvaise personne. Pour faire le bon choix, il faut en avoir. Et toi, tu as deux mecs sous la main !! Réfléchis à celui qui t'apporte le plus, qui te fait le plus vibrer, en essayant de ne pas te laisser emporter par la nouveauté. Pierrick est tendre, mais très plan-plan ? Eric est fun, mais déconnecté de la réalité ? Pierrick est présentable et Eric n'est pas le copain rêvé par ton daron ? Eric a un scooter et Pierrick sa trottinette ? Fais ta liste de plus et de moins et choisis ensuite en fonction de tes priorités. Une fois fixée sur ta préférence, ne tarde pas à éclaircir la situation et à rompre avec celui qui ne te plaît finalement pas tant que ça. Moins tu traînes, moins tu souffres et fais souffrir. Plus tu te décides vite, plus tu as de chances de te faire pardonner ton court test du ménage à trois !
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il a foiré motre Saint Valentin
04/09/2006 18:02
Il a foiré notre Saint-Valentin !
Ah ! La Saint Valentin... Le bonheur en vitrine, les chandelles en tête-à-tête dans les spots de pub et les cartes du Valentine's Day dans les séries américaines. Chaque année, tu ne peux t'empêcher de croire à cette pellicule de la vie en rose. Pourtant, tu n'as jamais fait partie de ces clichés. Et une fois de plus, Valentin a foiré sa fête !
Enfin, plutôt Yvan. Tu étais juchée sur les pointes, prête à embrasser Aurèle, ton Valentin du jour quand, patatras !, Mister Satan-Satire, ou « @ + ça-tend-ça-tire ;-) » pour les intimes, a chamboulé tous les plans bouquet de fleurs, chocolats en cœur et macarons pétales de rose. Il a suffit d'un texto pour réveiller la flamme... de la jalousie chez Aurèle. Tout occupée à ton baiser, tu n'as pas remarqué ton vibreur. Tu as reçu un SMS. Comme à ton habitude, tu vas le lire. Comme à son habitude, Aurèle va regarder par-dessus ton épaule. Et oui, c'est Yvan, le boulet rencontré sur un forum. Quoi ? Tu pensais réellement qu'après 9 mois de refus subtils, de vents humiliants et de silence il allait te laisser tranquille ? Tu le sais, il adore les dates-clés du calendrier. Après Pâques, la rentrée, Noël et le jour de l'An, tu pouvais quand même t'attendre à recevoir un petit poème bien cul-cul à l'occasion de la fête des amoureux ! Numéro inconnu. Le malin. « Tes yeux ont la couleur de tous mes vœux. Aujourd'hui, je te le dis, tu es la femme de ma vie ». Aïe ! Aurèle se fige. Demande des explications sans te laisser le temps de parler. Te balance ses paquets à la figure et te plante sur le trottoir. D'abord interdite, tu te mets à lui crier : « C'est un boulet, rencontré avant toi ! Je n'arrête pas de l'envoyer balader, arrête-toi ! ». Tu cours en brandissant ton portable pour lui prouver : dans ton répertoire, Yvan est sous « Maxiboulet ». Ah ! Pas de chance. Ce n'est décidément pas ton jour. Une plaque de verglas et te voilà étalée dans le caniveau. Et tu ne peux même pas compter sur ton Valentin pour te ramasser, s'excuser et te porter dans ses bras jusque chez lui pour une réconciliation sur l'oreiller. Non, monsieur a tourné à gauche, sourd à tes appels avec ses écouteurs sur les oreilles.
Au moins, il te reste les bons souvenirs de l'année dernière. Non ? Même pas ? Pourtant, tu t'es retrouvée bloquée avec ton charmant voisin de palier, sur lequel tu flashes depuis plus de trois ans. Non ? Si. Mais c'est ça le problème. Les secondes de Calogero se sont vraiment transformées en heures, mais pour ce qui est de l'apesanteur... Pourtant, tu as toujours entendu parler de portes bloquées qui donnent des idées. Et là, rien ! Pas un mot - à part : « J'espère que l'ascenseur va vite redémarrer ». Pas un brin de romantisme ce jeune homme. Même pas un grain de sauvagerie. Avait-t-il l'excuse de sa dulcinée ? Non. Ton coup de foudre était bel et bien célibataire. Ce 14 février, tu as appris que les scénarios de la vie ne correspondent pas toujours à ceux de la fiction. D'ailleurs, ton pompier était aussi rond qu'une bouée, et vu son âge, elle avait sûrement besoin d'une bonne rustine. Une fois délivrée de l'ascenseur, pour bien terminer la soirée, tu as dû te rendre à la soirée amis-célibataires-boycott-de-la-Saint-Valentin. Là-bas, tu t'es retrouvée entre deux amis d'amies qui ne risquaient pas de devenir tes copains. Tu as brillamment supporté les discussions de foot et de calendriers Pirelli pour finir par te coucher seule et un peu désemparée. Mais tu as quand même eu droit à ton happy-end avec ta pensée fulgurante : « Un peu de solitude vaut toujours mieux que ces bourrins du resto » !
L'année prochaine ? Tu seras comme Marika, ta meilleure amie ! Tu connaîtras les joies des roses livrées, d'une lettre d'un admirateur secret et d'une chanson dédicacée pour toi, à la radio. Tu auras même le droit à un cœur en papier mâché, contenant le collier de macaronis que ton neveu, amoureux plus que jamais, aura pensé à te confectionner. Cette pensée te console déjà de toutes tes Saint Valentin foirées. Pourtant, l'année prochaine, tu seras peut-être à nouveau célibataire. Ou tu seras vexée par une robe trop grande de deux tailles ou par un soutif bonnet A au lieu de B. Mais après tout, tu es déjà passée par le dîner cramé et la « boîte à se faire belle » - jolie, sans aucun doute, mais qui te fait attraper quelques complexes, même sans raison, et l'envie de briser un miroir sur la tête de ton Valentin. Tu t'es arrêtée à temps, avant les sept ans de malheur ou la rupture à la fin du dessert. Alors, avec un peu de chance, l'année prochaine, tu auras droit à une soirée romantique entre champagne, toasts et câlins. Mais pour éviter les déceptions, tu peux toujours commencer à haïr le 14 février !
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lapire de la drague
04/09/2006 17:59
Le pire de la drague
La drague n'est pas un phénomène saisonnier, mais avec le printemps et les hormones en ébullition le macadam devient le terrain d'une vraie démonstration de force. Parmi les concurrents, il y a les vrais séducteurs et les pires boulets. En matière de techniques pourries, certains sont les rois. En avant pour un petit tour d'horizon.
Dans la catégorie « J'ai bien compris qu'un mâle devait être protecteur et rassurant pour attirer la femelle », il y a le mec, sûr de lui et de son porte-feuille, qui t'aborde, sans gêne avec une fiche d'identité d'un nouveau genre : « Philippe. Célibataire. Signe particulier : un salaire de 7 000 euros par mois. Tu viens chez moi ? ». Ouais, il gagne de l'argent, et alors ? Il va quand même pas te le laisser sur ton oreiller en partant. Ce mec te prend soit pour une pute, soit pour une fille vénale. Il y a quand même mieux pour te séduire.
Dans le genre « Je suis le rescapé des temps cromanesques - « Moi homme fort. Moi te protéger ! » -, certains n'hésitent pas à plonger tête baissée dans le ridicule. Bien sûr, l'humour est une qualité essentielle. Mais les loosers devraient apprendre à différencier les deux. Le ridicule, c'est se lancer dans une démonstration de force, en plein bus, pour impressionner sa proie. Hop ! Le balèze se met entre les deux rangées de fauteuils et attrape les barres pour faire quelques tractions. Whaou, les beaux biscotos ! C'est impressionnant, c'est sûr... C'est surtout très révélateur : le dragueur qui t'a malheureusement prise pour cible doit être « gros muscles et cervelle en petit pois ».
Dans le même style, il y a celui qui se la joue sauveur. Ok, ton ordi en panne est un peu lourd, mais pas autant que lui. Tu aurais une barrette dans ton sac, ce serait la même chose : la raison de vivre de sa drague, c'est la jeune fille en détresse. Le plus marrant c'est qu'il a le biceps en manque d'épinards et qu'il croule sous le poids de l'engin. Pas de bol. Il est obligé de le déposer à tes pieds et de reconnaître sa défaite. Pour l'assommer pour de bon et le laisser sur place avec un coup de massue, tu soulèves ton mac-pc sans problème.
Parmi les techniques de drague, il y a l'éternel chapelet : « Tu me dis quelque chose », « On se connaît, non ? », « Je suis sûr t'avoir déjà vue quelque part », etc. Le fumeur taxe une clope et en profite pour te déverser son discours rodé. Il y a aussi les imaginatifs, du genre « Tu ne fais pas partie de mon cours de lambada ? Non ? C'est pas grave. Je suis ton homme ! Je peux t'enseigner toutes les positions ». Gros clin d'œil appuyé. Gros lourd. A l'inverse du « Je te connais », il y a les rois du « malheureusement, je ne te connais pas, sinon je me souviendrais de toi ». C'est con, mais tu te souviens parfaitement de son petit manège. Aujourd'hui, il te fait le coup sur le quai du métro, mais, la semaine dernière, c'était idem aux rayons du supermarché, entre le riz et la purée.
Parmi les pires dragueurs, il y a aussi celui qui ne doute de rien. Il fonce sur toi avec la banane (pas d'esprit mal placé, même si tu peux...) et te tend un papier : « Charmante demoiselle, vous avez perdu un papier ». Oui, bien sûr. Tu sais quand même ce que tu as dans tes affaires, et puis on t'a déjà fait le coup. « Merci, mais ce n'est pas à moi ». Voilà, il repart, la queue entre les jambes, avec son numéro de téléphone. Dans le genre insupportable, il y a celui qui te regarde droit dans les yeux et te balance : « La vérité, tu as les yeux qui sentent le cul ! » ou « Je le lis dans tes yeux, tu as trop envie de moi ». Quel bouffon, s'il ne sait pas distinguer une grosse crève qui te file les yeux brillants et un désir incontrôlable, il est bien mal barré dans la vie.
Le plus imaginatif - qui avec un peu de subtilité pourrait devenir touchant, charmant - c'est celui qui te met dans l'embarras. Plusieurs moyens sont à sa disposition. Au moment où la porte se referme, il peut courir pour jouer les victimes : « Mademoiselle, vous allez devoir vous excuser, vous venez de me casser le nez ». Bredouillements, rouge aux joues. Alors que le « Pardon » a du mal à arriver, il te sauve la mise - ou t'entraîne plutôt dans son piège - avec un « Vous me devez un verre ». S'il se prend trop au jeu, la première partie peut être assez agressive pour te faire renoncer à tomber dans ses filets.
Commentaire de christel (19/09/2006 13:48) :
intéréssant! lol!
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